Juste une ombre.

PRESENTATION DE L'AUTEUR :

Karine Giébel a été deux fois lauréate du prix marseillais du Polar : en 2005 pour son premier roman Terminus Elicius, et en 2012 pour Juste une ombre, également prix Polar francophone à Cognac. Les Morsures de l'ombre (Fleuve Noir, 2007), son troisième roman, a reçu le prix Intramuros, le prix SNCF du polar et le prix Derrière les murs.

Meurtres pour rédemption (Fleuve Noir, 2010) est considéré comme un chef-d'oeuvre du roman noir.

Ses livres sont traduits dans plusieurs pays, et, pour certains, en cours d'adaptation audiovisuelle.

Son septième roman, Purgatoire des innocents est paru au Fleuve Noir en 2013.

Juste une ombre.

Editeur du livre : Fleuve Noir.

Edition du livre : Pocket.

Date d'édition du livre : 2013.

Nombre de pages : 606.

QUATRIEME DE COUVERTURE :

D'abord, c'est une silhouette, un soir, dans la rue...

Un face-à-face avec la mort.

Ensuite, c'est une présence. Le jour : à tous les carrefours. La nuit : à ton chevet. Impossible à saisir, à expliquer, à prouver.

Bientôt, une obsession. Qui ruine ta carrière, te sépare de tes amis, de ton amant. Te rend folle. Et seule.

Juste une ombre. Qui s'étend sur ta vie et s'en empare à jamais.

Tu lui appartiens, il est déjà trop tard...

J'avais été happée par le résumé du livre : l'ombre mystérieuse qui est toujours près de toi, c'était intriguant.

Malheureusement, l'histoire ne m'a pas plu. Je veux bien que l'on parle de l'ombre toujours présente mais qu'à chaque phrase, on en parle, cela devient lourd.

Le personnage principal, Cloé, m'a énormément gonflé : c'est le type classique de personne que je n'aime pas (dans les livres comme ailleurs) : manipulatrice, hautaine et prétentieuse. J'ai eu du mal à finir ce thriller, rien qu'à cause de ce personnages. Les autres ne m'ont pas marqués.

Pour l'intrigue du livre, elle est assez bien tournée : est-ce que Cloé est suivi par cette ombre ou est-ce qu'elle délire complètement ? A certains moment, on se dit qu'elle est suivi et seulement quelques pages après, on l'internerait volontiers.

Je n'ai pas aimé le style de l'auteur : le récit est écrit avec de petites phrases et cela m'a donné une impression d'un récit haché.

En somme, une histoire ont la quatrième de couverture paraissait très intrigante mais le contenu des pages n'était pas à la hauteur.


wallpaper-1019588
Tous 2, le roman de Testu est philosophique et spirituel à la fois