Dans la famille Holland, je demande le casse-cou : Knox. Pilote de moto-cross, tempérament volcanique, allergique au mot “aide”. Cette lecture m’a embarquée dans un duo de sports qu’on voit trop peu en romance, et franchement, ça change ! Mention spéciale à tous les frangins Holland qui méritent clairement plus de victoires.
Collaboration non rémunérée – Ebook reçu gratuitement.
Et si faire le premier pas était le plus difficile ?
De quoi ça parle : C’est le bad boy sexy et tatoué avec qui je me suis disputée… et maintenant, il veut mon aide ?
Knox Holland est dans le pétrin. Après une première année franchement incroyable sur le circuit professionnel de moto-cross, il devrait être au sommet de sa gloire. Au lieu de ça, sa mauvaise réputation l’a empêché de trouver une équipe. Il est traité comme un pestiféré et prêt à tout pour renverser la situation. C’est comme ça qu’il se retrouve dans mon gymnase et me demande de l’entraîner. En tant que gymnaste universitaire détenant deux médailles olympiques, je connais une chose ou deux sur la pression de réussir. La saison dernière, j’ai craqué et me suis blessée avant de pouvoir montrer au monde que je ne suis pas une has-been de vingt ans. Concentrée sur mon avenir, je ne peux pas me permettre la moindre distraction. Mais je vois le désespoir dans les yeux de Knox et je ne peux pas lui dire non. Ça aurait dû être une tâche facile, mais rien n’est jamais facile avec Knox. Une minute, on se dispute, et la minute d’après, je le regarde avec un peu trop de plaisir faire le poirier torse nu. Tomber amoureuse de lui serait une erreur…
Ce que j’ai aimé… ou pas… : Knox Holland a fait beaucoup de sacrifice dans sa vie, mais depuis un, il retrouve enfin l’odeur de la poussière et de l’essence : la moto-cross. Il carbure à l’adrénaline, vise les podiums comme si sa vie en dépendait, mais son impulsivité ne lui fait pas gagner de trophées. Et après un énième coup de sang sur le circuit, son équipe le met sur la touche. Autant dire qu’il passe direct du rouge au rouge vif. En attendant d’être réintégré, il doit occuper son temps (et apprendre à se canaliser). Heureusement, son pote Colter a LA solution : un entraînement centré sur la maîtrise du corps. Et pour ça, une experte : Avery, gymnaste médaillée olympique. Sur le papier, duo parfait. Dans la vraie vie, aïe. Ces deux-là ont déjà eu un échange qui relevait plus du crash-test que d’une rencontre sportive. Knox s’est montré arrogant, condescendant envers la discipline d’Avery, et elle, déjà fragilisée par une blessure, n’avait pas besoin d’un énergumène qui doute ouvertement de son utilité. Du coup, leurs premières séances ressemblent davantage à un combat de regard noir qu’à du coaching. Jusqu’à ce qu’Avery réalise qu’il y a quand même quelques avantages à faire faire le poirier à un type musclé
. Et Knox, lui, comprend vite que pour récupérer sa place dans son équipe, il doit bosser plus dur, mais surtout mettre un peu d’eau dans son essence. Parce qu’à chaque rencontre, quelque chose change : un jeu plus subtil s’installe, des barrières tombent en dévoilant quelques confidences. Elle, découvre qu’il n’est pas le rustre qu’il prétend être. Lui réalise qu’elle est bien plus qu’une gymnaste. Alors, qui va céder en premier ? Le pilote au cœur cabossé ou la gymnaste qui refuse de tomber amoureuse une seconde fois ?
J’ai adoré ma lecture ! Dès les premières pages, j’ai senti qu’il se cachait bien plus qu’un sale caractère derrière Knox. À première vue, un pilote de moto-cross et une gymnaste médaillée olympique n’ont rien en commun et pourtant, ils partagent la même rage de vaincre, la même détermination, le même besoin de repousser leurs limites. Et évidemment : la même tête de mule. Résultat : des disputes savoureuses où chacun campe fièrement sur ses positions. Bon, Knox et la diplomatie, comment dire ? C’est un peu comme un virage serré sur terrain boueux : ça passe, mais rarement proprement. Il n’a jamais demandé d’aide à personne, alors quand il doit collaborer, ça pique un peu. Mais c’est justement là qu’on découvre l’autre facette du personnage : celle qu’il réserve à sa famille. Ses frères sont un chaos parfaitement orchestré, unis malgré les secousses, et j’ai adoré faire la connaissance de cette fratrie. Avery, elle, c’est le calme après la tempête : posée, pragmatique, mais surtout pas du genre à se laisser rouler dessus. Et, détail essentiel : elle aime le rose. Comment ne pas l’apprécier ? J’ai adoré la voir tenir tête à Knox tout en l’aidant à avancer, sans jamais renier sa propre force. Entre deux entraînements musclés, quelques soirées étudiantes, des regards brûlants et beaucoup de respect, quelque chose finit par se créer. Sauf que Knox a appris très tôt que les gens finissent toujours par partir. Alors, les relations amoureuses ? Pas pour lui. Même s’il voit bien, via son frère, que le bonheur est possible, il refuse d’y croire pour lui. Mais derrière son sale caractère, Knox est un type bien : altruiste, loyal, généreux sans rien attendre en retour. Et il se pourrait bien qu’il ait enfin rencontré quelqu’un qui n’a aucune intention de le quitter…
@ très vite entre deux chapitres 
Psitt ! Pour vous le procurer, c’est par ici. (Re)Découvrez mon avis sur “Garde rapprochée” pour faire la connaissance d’Hendrick, l’ainé des Holland.
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