
Résumé :Cartel : organisation criminelle. Ouais, c’est ça que ça veut dire. Sauf que nous sommes bien plus que ça. Pourquoi ce nom ? Tout simplement parce que pour atteindre son ennemi, il faut s’en faire un ami et œuvrer au plus près de lui. Aux yeux du monde, nous sommes comme eux, sans pitié, sans conscience et sans aucun scrupule. Cependant, les apparences sont parfois trompeuses. Nous avons des règles, des valeurs. Malgré nos différences et nos origines, un seul objectif nous anime : débarrasser le monde de sa vermine.
« Je vole pour défier la mort, c’est ça ma came »
Titus : Il y a toujours quelque chose d’imprévu au Cartel. Chaque moment de calme et de sérénité comporte son équivalent d’emmerdes. L’arrivée de la « mamma » fait partie de ceux qui auront plutôt intérêt à se compenser par une horde de filles m’attendant dans ma chambre… Au lieu de ça, il n’y en aura qu’une seule : Kali. Cette femme qui accompagne ma mère est aussi belle qu’enflammée. Elle va tout faire pour rendre ma vie infernale et je jure de ne pas la laisser gagner à ce petit jeu ! Si je dois monter au septième ciel, ce ne sera pas à bord de mon hélicoptère cette fois !
Kali :Tout ça n’était qu’un contrat qui devait me rapporter gros. Si j’avais su ce que cela impliquerait, je n’aurais jamais posé un pied dans ce fichu pays ! Titus est un homme arrogant, immature et ses provocations alimentent mon tempérament méditerranéen. Il ne remportera pas la guerre. Je suis une femme qui ne se soumet à rien ni personne, pas même à la peur !
Mon avis :Comme chaque été, j’avance dans Le Cartel : un tome tous les mois d'août (sans le faire exprès) mais cette année je pense en lire un de plus ! C'est surtout parce que Le Voltigeur est sans doute le tome auquel j’ai le moins adhéré.
L’histoire de Titus et Kali ne m’a pas vraiment convaincue. Elle était assez simpliste : légère et amusante avec leurs joutes verbales, mais avec quelques incohérences et précipitations.
À mon grand regret (j’adore la série), j’ai aussi relevé des descriptions physiques de personnages qui m’ont fait tiquer. Non pas qu’elles soient ouvertement stigmatisantes, mais elles sont mentionnées alors qu’elles n’apportent rien à la narration. Le recours à des détails centrés sur l’apparence... me heurte.
Heureusement, l’intrigue est sauvée par les autres points de vue : la suite tant attendue avec les Yakuzas, ainsi que les prémices concernant Artie, Davy et Cole, me rendent impatiente de découvrir la suite.
Au plaisir.