Le Mal peut-il contaminer ceux qui le traquent ? Un go-fast pris en flag qui transporte bien pire que de la drogue… Deux ados qui tirent sur les passagers d’un TGV lancé à pleine vitesse… Des gens ordinaires découverts morts… de terreur. Le Diable mène le bal, le monde est devenu fou. Lieutenant à la Section de Recherche de Paris, Ludivine Vancker comprend bientôt qu’un fil sanglant relie ces faits divers. Rien ne pourra l’empêcher de remonter la piste à sa source. Aux racines de la peur.
L’homme est prédisposé à la violence et celle-ci ne fait que croître, à mesure que nous industrialisons le monde, que tout se mondialise, la violence grandit, tel un virus, elle s’apprête à exploser. La violence est l’avenir de l’homme.
Ludivine Vancker fait de nouveau face à une série d’atrocités. Le monde devient fou. Tout commence avec deux adolescents qui décide de tuer des personnes dans un TGV et les événements s’enchaînent les uns après les autres à une allure digne d’une épidémie. Le diable est viral. Ludivine va pouvoir compter sur son collègue et ami Saignon pour affronter une fois de plus le Mal à l’état pur.
Ludivine est toujours autant déterminée à sauver le monde qui l’entoure, mais très souvent au détriment de sa santé, mais surtout de sécurité. Elle n’a peu de rien.
Comme toujours, j’ai été plongée dans les atrocités que nous peint Maxime Chattam. Cette suite est légèrement en dessous du premier tome que j’avais adoré, mais elle n’en demeure pas moins captivante. J’ai juste trouvé des longueurs et surtout, j’ai moins accroché au thème de « Satan ». Cela demeure une bonne lecture.