
DFN malgré un concept de bibliothèque très chouette.
╰☆ Résumé ☆╮
Derrière les portes automatiques d’un bâtiment grisâtre de la banlieue de Tokyo se cache un étrange établissement qui rassemble les bibliothèques personnelles d’auteurs décédés. Des ouvrages uniques et précieux, soigneusement classés et référencés, que tout le monde peut consulter, à condition de respecter des horaires inhabituels. Car cette bibliothèque n’ouvre que la nuit.
Pour Otoha Higuchi, ce lieu hors du commun devient rapidement un havre de paix. Après une première expérience catastrophique dans une chaîne de librairie, elle retrouve le bonheur de prendre soin de livres tendrement chéris par leurs précédents propriétaires. À mesure qu’elle découvre les histoires contrariées de ses collègues, elle commence à se demander qui est le mystérieux propriétaire des lieux. Et si, non content d’accueillir ces ouvrages orphelins, il offrait également à tous les passionnés de livres une nouvelle chance au moment où ils en ont le plus besoin…
Parsemé de références littéraires, un roman poétique empli de mystère qui nous entraîne dans les coulisses du monde des livres.
Autrice best-seller au Japon, Hika Harada est une lectrice compulsive. Elle connaît une fructueuse carrière de scénariste avant de réaliser que le roman est la forme artistique qui lui convient le mieux et de se consacrer à la littérature. Son roman, La Bibliothèque des auteurs disparus, est déjà en cours de traduction en sept langues.
✿ Mon avis ✿
Malgré sa sublime couverture qui me faisait de l’œil depuis le catalogue des nouveautés, j’ai décidé d’abandonner La bibliothèque des auteurs disparus à la moitié du chemin. L’idée de l’histoire me tentait : une bibliothèque qui conserve les livres des auteurs défunts, un univers lié aux livres et à la littérature, ce qui est clairement un point fort pour moi. Malheureusement, je n’ai jamais réussi à entrer dans le récit.
Cela m’arrive souvent avec la littérature japonaise (les rares fois où je m’y aventure) mais, je me suis retrouvée un peu perdue à essayer de déterminer si tel personnage était un homme ou une femme (à cause des prénoms je pense), qui était qui à quel moment… même les péripéties m’ont laissée de marbre.
Pourtant, je trouve la culture japonaise fascinante et le concept de la bibliothèque dédiée aux auteurs disparus l’était également. Mais même cela ne m’a pas permis de m’accrocher suffisamment pour me sentir investie. Je n’ai jamais ressenti cette petite étincelle de curiosité qui me pousse à tourner les pages sans m’arrêter. C’était même plutôt l’inverse,… j’étais de plus en plus désintéressée.
J’ai quand même corné quelques pages car j’ai trouvé de magnifiques citations et passages sur la lecture. Et oui, pour ceux qui ne l’auraient pas deviné j’aime les livres et la littérature :p Mais la magie n’était pas là avec ce titre. Peut-être un problème de timing ou d’audience. Cela arrive parfois, même avec des livres qui devraient logiquement me plaire. Mais la lecture n’est pas une question de logique vous le savez. Et quand le cœur n’y est pas…
– -Abandonné à la moitié – –
Partenariat non-rémunéré – Livre envoyé par la maison d’édition.
CHRONIQUE 955 – Avril 2025
- Parution : 2025
- Editeur : Nami
- Nombre de pages : 304 pages
- Genre : Littérature japonaise