Verbatim

« Je ne me reconnaissais qu’une seule qualité : j’étais un grand lecteur, un passionné de littérature, un genre de lettré. Qualité inutile socialement si on ne la transforme pas en diplômes, romans, critiques ou postes universitaires. »

« Alors que le romancier s’affronte au monde, à la vie, au néant, au chaos, l’universitaire, lui, se confronte aux livres qui parlent du monde, de la vie, de l’amour et du néant : ce n’est pas la même chose. »