Chronique : Blackwater t.2 La Digue - Michael McDowell (MTL)

Par Frédéric Fontès 4decouv @Fredo_Fontes

Lu dans la foulée de sa sortie le 22 avril dernier. Je l'ai dévoré en une journée. La Digue commence où La Crue se termine.
L'occasion pour moi de constater que chaque tome à son identité propre. La Crue et La Digue atteignent même le statut de personnages à part entière. Ce sont des challenges successifs auxquels sont confrontés les habitants. Des évènements qui plantent leurs racines profondes dans l'environnement des riverains, qui vont devoir assimiler ce nouvel élément perturbateur.
Michael McDowell offre un opus un cran plus sombre que le précédent. Les relations entre les personnages se tendent encore un peu plus également.
L'habillage du livre est une nouvelle fois une petite merveille.
Prochain opus : La Maison, en librairie le 5 mai prochain, toujours traduit par Yoko Lacour et Hélène Charrier pour les éditions Monsieur Toussaint Louverture. Illustrations de couvertures de Pedro Oyarbide.
Chronique du tome 1 La Crue

Présentation de l'éditeur
: Tandis que la ville se remet à peine d’une crue dévastatrice, le chantier d’une digue censée la protéger charrie son lot de conséquences : main d’œuvre incontrôlable, courants capricieux, disparitions inquiétantes.
Pendant ce temps, dans le clan Caskey, Mary-Love, la matriarche, voit ses machinations se heurter à celles d’Elinor, son étrange belle-fille, mais la lutte ne fait que commencer.
Manigances, alliances contre-nature, sacrifices, tout est permis. À Perdido, les mutations seront profondes, et les conséquences, irréversibles.

Frédéric Fontès, www.4decouv.com