Titre : Jane Eyre
Auteure : Charlotte Brontë (Traduction : Charlotte Maurat)
Date de parution : juillet 2012 (1ère parution : 1847)
Editions : Le Livre de Poche)
Pourquoi ai-je attendu si longtemps avant de découvrir cette œuvre culte de la littérature anglaise?
J’ai enfin fait la connaissance de l’inoubliable Jane Eyre, un personnage attachant pour sa force de caractère et son humilité.
Une lecture sombre et envoûtante dans laquelle je me suis égarée dans les landes brumeuses, où le vent a fouetté mon visage et où la nature m’a charmée à la belle saison.
Mais, j’ai également été révoltée par la terrible enfance de cette pauvre orpheline, traitée cruellement par sa tante et subissant les privations au pensionnat de Lowood. J’ai été transportée au cœur de la vaste demeure de Thornfield et je me suis délectée des dialogues entre Mr Rochester et Jane.
En dépit de son nombre de pages, aucun mot de trop et l’intrigue est palpitante de bout en bout. Charlotte Brontë est une conteuse extraordinaire. Sa plume est fine, d’une grande richesse. J’ai succombé à l’atmosphère mystérieuse et fascinante de ce récit, à son empreinte féministe, à ses personnages complexes remarquablement dressés.
Je comprends maintenant pourquoi ce merveilleux roman est un classique incontournable et je rejoins sans hésitation l’engouement collectif autour de cette histoire d’amour tumultueuse captivante et marquante.
Un billet qui signe ma nouvelle participation au challenge «Les classiques c’est fantastique» organisé par Moka Milla et Mes Pages Versicolores.