Jeu d’ombres Emilico est une poupée vivante au service de Kate, une jeune fille appartenant aux Shadows, famille d’ombres sans visage. Dans le vaste manoir familial, le travail d’Emilico se limite pour le moment à nettoyer la suie projetée par sa maîtresse… Mais au fil des rencontres, elle découvrira le monde dans lequel elle vit, commencera à s’interroger sur le sens de son existence et se liera d’amitié avec son entourage…
Cependant, une poupée doit-elle avoir une conscience ?
4.5/5 – UNE DÉCOUVERTE TOUCHANTE ET DE TOUTE BEAUTÉ
J’ai aimé : L’originalité, les dessins J’ai moins aimé : -
Emilico est une poupée vivante. Mais qu’est-ce donc ? Ce sont des poupées créées à l’image des humains, pour la famille Shadows. Leur but est de retranscrire au mieux les émotions de la personne qu’ils représentent.
En effet, les Shadows sont recouverts de suit. De ce fait, on ne voit pas leur visage et donc leur expression. C’est justement le rôle des poupées vivantes. Elles doivent au mieux servir la personne dont elles sont les poupées vivantes, afin que leurs émotions et expressions soient visibles de tous.
Emilico est justement une toute jeune poupée vivante. De ce fait, on découvre en même temps qu’elle, qu’elle est son rôle dans tout ça. Ses attributions. Ce qu’elle doit faire. Ses tâches quoi. Etc.
Seulement Emilico va vite se rendre compte qu’elle est différente des autres poupées vivantes. Elle a une conscience et une personnalité bien à elle. Elle a peur d’être défectueuse. Que ferait ont d’elle, si elle ne remplit pas le rôle pour lequel elle est censée exister ?
Ce manga est intrigant, mais pas seulement. Il y a une d’ambiance spécifique. Je ne saurais pas donner un mot exactement pour la définir, mais c’est une atmosphère agréable, qui nous met dans un bon mood pendant notre lecture.
En bref, c’est un manga qui m’a beaucoup plu et qui est prometteur. J’ai hâte de lire la suite, que j’ai achetée également
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