Marie-Madeleine Peyronnet a commencé à travailler pour Alexandra David-Néel en 1959. Elle fut à son service pendant dix ans en tant que secrétaire personnelle. Elle fut beaucoup plus qu’une secrétaire et écrivit même une biographie d’Alexandra David-Néel.
Alexandra David-Néel était une exploratrice bouddhiste. Parmi bien d’autres choses. En effet, elle fut, dans sa jeunesse, cantatrice et journaliste. Elle était également féministe et anarchiste. De la ville de Tours au Tibet, son destin est tout simplement incroyable. Alexandra David-Néel fut la première Dame Lama.
Au fil des pages, Alexandra David-Néel est de plus en plus fascinante, de plus en plus touchante. Marie-Madeleine est très attachante elle aussi. Le lecteur se dit qu’elle a énormément de chance d’avoir connu un tel personnage, d’avoir eu accès à ses trésors. L’émotion est croissante et l’inéluctable fin du deuxième tome serre vraiment le cœur. Mais il ne s’agit que d’un nouveau commencement. Alexandra a encore beaucoup de choses à transmettre.
Quel extraordinaire, beau et riche voyage que la lecture de ces ouvrages !
L’excursion est admirable, unique et inspirante.
L’aventure se termine dans un troisième tome :
Présentation de l’éditeur :
1959. La jeune Marie-Madeleine entre au service d’une vieille femme despotique : Alexandra David-Néel, exploratrice, philosophe, écrivain, qui fut, au début du siècle, la première femme blanche à entrer au Tibet. Dans la villa de Digne où s’entassent les souvenirs de 14 années passées en Asie, Marie-Madeleine se retrouve plongée dans la vie exceptionnelle de l’aventurière.