The Promised Neverland T3, de Kaiu Shirai et Posuka Demizu

Par Deslivresetlesmots @delivrezlesmots

The Promised Neverland T3 : En éclats, de Kaiu Shirai (scénario) et Posula Demizu (dessin), traduit du japonais par Sylvain Chollet, Kazé, « Shonen », 2018 (VO : 2016), 208 pages.

L’histoire

Emma, Norman et Ray coulent des jours heureux à l’orphelinat Grace Field House. Entourés de leurs petits frères et sœurs, ils s’épanouissent sous l’attention pleine de tendresse de « Maman », qu’ils considèrent comme leur véritable mère. 
Mais tout bascule le soir où ils découvrent l’abominable réalité qui se cache derrière la façade de leur vie paisible ! Ils doivent s’échapper, c’est une question de vie ou de mort !

Note : 4/5

Mon humble avis

Comme il s’agit d’un troisième tome, cette chronique va bien sûr dévoiler des éléments d’intrigue des deux premiers donc si vous ne connaissez pas encore la série, je vous conseille plutôt la chronique du tome 1 ou 2

Le danger continue à grandir dans ce tome maintenant que Norman et Emma savent que Ray était en fait la taupe depuis très, très longtemps. Bien qu’il annonce vouloir également s’échapper et donc, les protéger pour pouvoir y arriver ensemble, la suspicion règne.

Très vite, le trio se rend compte qu’iels ne pourront pas s’en sortir seul·es et décident d’impliquer Don et Gilda complètement dans la confidence.

La Soeur Krone est encore plus menaçante maintenant qu’elle a découvert le secret des enfants. Elle leur propose de les aider pour devenir la nouvelle mère de Grace Field House, bien qu’elle attende clairement l’occasion de pouvoir faire d’une pierre deux coups en les dénonçant pour avoir des preuves de l’échec d’Isabella.

Ce tome est aussi l’occasion de découvrir le passé de la sœur Krone, mais aussi d’en savoir plus sur ces « mères », et celle qui semble être leur cheffe : mère grand. Au vu de la réaction de cette dernière à une révélation particulière, on comprend très vite qu’Isabella a une position bien reconnue et bien ancrée dans cette société et cette hiérarchie.