Des idées de lecture pour 2019…

Par Enborddepage

Tellement de livres à découvrir, page après page… Voici la liste, non exhaustive, des livres qui me font envie pour cette année 2019 ! Soit à sortir de ma pile à lire, soit à acquérir très rapidement… Qui sait, peut-être que ces idées de lecture vous tenteront aussi… Bonne année de lecture !

  • Neige, d’Orhan Pamuk (lecture en cours)

 » Le jeune poète turc Ka quitte son exil allemand pour se rendre à Kars, une petite ville provinciale endormie d’Anatolie. Pour le compte d’un journal d’Istanbul, il part enquêter sur plusieurs cas de suicide de jeunes femmes portant le foulard. Mais Ka désire aussi retrouver la belle Ipek, ancienne camarade de faculté fraîchement divorcée. « 

  • La suite de La Passe-Miroir, de Christelle Dabos

 » Sous son écharpe élimée et ses lunettes de myope, Ophélie cache des dons singuliers : elle peut lire le passé des objets et traverser les miroirs. Elle vit paisiblement sur l’arche d’Anima quand on la fiance au sombre Thorn. La jeune fille doit quitter sa famille et le suivre à la Citacielle, capitale flottante du Pôle. À quelle fin a-t-elle été choisie ? Pourquoi doit-elle dissimuler sa véritable identité ? « 

  • Belle du Seigneur, d’Albert Cohen

 » Ariane devant son seigneur, son maître, son aimé Solal, tous deux entourés d’une foule de comparses : ce roman n’est rien de moins que le chef-d’œuvre de la littérature amoureuse de notre époque. « 

  • Lucrèce Borgia, de Victor Hugo

 » Indifférente à la haine de l’Italie entière, Lucrèce Borgia parade au carnaval de Venise. Qui pourrait inquiéter cette femme de pouvoir qui baigne dans l’adultère, l’inceste et le crime ? Elle a peur cependant, et tremble. pour un simple capitaine qu’elle cherche parmi la foule. Il se nomme Gennaro. « 

  • Deux ans, huit mois et vingt-huit nuits, de Salman Rushdie

 » Échappés de leur univers aussi fabuleux qu’ennuyeux, des djinns viennent mêler leur immortalité fascinée à la finitude des hommes, et partager la folle aventure de leur active et permanente déraison. « 

  • La Vraie vie, d’Adeline Dieudonné

 » Son petit frère Gilles ne rit plus. Elle, avec ses dix ans, voudrait tout annuler, revenir en arrière. Effacer cette vie qui lui apparaît comme le brouillon de l’autre. La vraie. Alors, en guerrière des temps modernes, elle retrousse ses manches et plonge tête la première dans le cru de l’existence. Elle fait diversion, passe entre les coups et conserve l’espoir fou que tout s’arrange un jour. « 

  • Réparer les vivants, de Maylis de Kerangal

 » Le roman d’une transplantation cardiaque. Telle une chanson de gestes, il tisse les présences et les espaces, les voix et les actes qui vont se relayer en vingt-quatre heures exactement. Roman de tension et de patience, d’accélérations paniques et de pauses méditatives, il trace une aventure métaphysique, à la fois collective et intime, où le cœur, au-delà de sa fonction organique, demeure le siège des affects et le symbole de l’amour. « 

  • Le cœur cousu, de Carole Martinez

 » Frasquita Carasco a dans son village du sud de l’Espagne une réputation de magicienne, ou de sorcière. Ses dons se transmettent aux vêtements qu’elle coud, aux objets qu’elle brode : les fleurs de tissu créées pour une robe de mariée sont tellement vivantes qu’elles faneront sous le regard jaloux des villageoises; un éventail reproduit avec une telle perfection les ailes d’un papillon qu’il s’envolera par la fenêtre : le cœur de soie qu’elle cache sous le vêtement de la Madone menée en procession semble palpiter miraculeusement… « 

  • L’espèce fabulatrice, de Nancy Huston

 » Ils disent, par exemple : Apollon. Ou : la Grande Tenue. Ou : Râ, le dieu Soleil. Ou : Notre Seigneur, dans Son infinie miséricorde. Ils disent toutes sortes de choses, racontent toutes sortes d’histoires, inventent toutes sortes de chimères. C’est ainsi que nous, humains, voyons le monde : en l’interprétant, c’est-à-dire en l’inventant, car nous sommes fragiles, nettement plus fragiles que les autres grands primates. Notre imagination supplée à notre fragilité. « R

  • La mort du roi Tsongor, de Laurent Gaudé

 » Au coeur d’une Afrique ancestrale, le vieux Tsongor, roi de Massaba, souverain d’un empire immense, s’apprête à marier sa fille. Mais au jour des fiançailles, un deuxième prétendant surgit. La guerre éclate : c’est Troie assiégée, c’est Thèbes livrée à la haine. Le roi s’éteint mais ne peut reposer en paix dans sa cité dévastée. A son plus jeune fils, Souba, échoit la mission de parcourir le continent pour y construire sept tombeaux à l’image de ce que fut le vénéré — et aussi le haïssable —roi Tsongor. « 

  • Aurélien, d’Aragon

 » Aurélien dépeint une génération prise entre-deux-guerres, sans identité propre, qui se laisse aller à une trêve trop gaie pour être réelle. « 

  • Les Contemplations, de Victor Hugo

 » Le recueil, en son centre, porte la brisure du deuil, et ses deux parties – « Autrefois », « Aujourd’hui » – sont séparées par la césure tragique de l’année 1843 où Léopoldine, la fille de Hugo, disparut noyée. « 

  • Journal d’un écrivain en pyjama, de Dany Laferrière

 » « Le pyjama est un étrange habit de travail », nous dit Dany Laferrière, qui, après trente années d’écriture, décide de parler à ses lecteurs. Suite de fragments et de scènes où fiction, réflexion, récit, méditations s’alternent. Journal d’un écrivain en pyjama met sous nos yeux l’itinéraire de cet écrivain pour qui la vie est une aventure exaltante, qui se conjugue entre lire et écrire. « 

  • Mélusine, de Franz Hellens

 » Sous une nuit étoilée, en plein Sahara, surgit soudain une cathédrale en pierres translucides dont le narrateur entreprend l’ascension en compagnie d’une femme légère comme l’air et vêtue d’une robe diaphane : Mélusine. « 

 » Il s’efforce de suivre les traces de cette fée jusqu’au cœur de la vie moderne, où leurs pas croiseront ceux de Charlot et de Merlin. « 

  • Bug-Jargal, de Victor Hugo

 » La révolte gronde sourdement. On murmure le soir dans les cases le nom d’un chef mystérieux, Bug-Jargal. Courageux, généreux, aussi fort que brave, Bug-Jargal n’a qu’une faiblesse : il est amoureux de la jeune Marie, promise à Léopold d’Averney.
Mais le jour où le mariage des deux jeunes gens doit être célébré éclate la révolte noire… « L

  • Trois femmes puissantes, de Marie NDiaye

 » Trois récits, trois femmes qui disent non. Elles s’appellent Norah, Fanta, Khady Demba. Chacune se bat pour préserver sa dignité contre les humiliations que la vie lui inflige avec une obstination méthodique et incompréhensible. « 

  • Le Cercle littéraire des amateurs d’épluchures de patates, de Shaffer et Barrows

 » Janvier 1946. Tandis que Londres se relève douloureusement de la guerre, Juliet, jeune écrivain, cherche un sujet pour son prochain roman. Comment pourrait-elle imaginer que la lettre d’un inconnu, natif de l’île de Guernesey, va le lui fournir ? Au fil de ses échanges avec son nouveau correspondant, Juliet pénètre un monde insoupçonné, délicieusement excentrique ; celui d’un club de lecture au nom étrange inventé pour tromper l’occupant allemand. « 

  • Le Club des incorrigibles optimistes, Jean-Michel Guenassia

 » Michel Marini avait douze ans en 1959. C’était l’époque du rock’n’roll et de la guerre d’Algérie. Lui, il était photographe amateur, lecteur compulsif et joueur de baby-foot au Balto de Denfert-Rochereau.
Dans l’arrière-salle du bistrot, il a rencontré Tibor, Léonid, Sacha, Imré et les autres. Ces hommes avaient tous passé le Rideau de fer pour sauver leur vie. Ils avaient abandonné leurs amours, leur famille, leurs idéaux et tout ce qu’ils étaient. Ils s’étaient tous retrouvés à Paris dans ce club d’échecs d’arrière-salle que fréquentaient aussi Kessel et Sartre. 
Cette rencontre bouleversa définitivement la vie de Michel. Parce qu’ils étaient tous d’incorrigibles optimistes. « 

  • Illusions perdues, de Balzac

 » Tu seras journaliste, lui criait sa conscience, comme la sorcière criait à Macbeth : Tu seras roi. Être journaliste, c’est devenir proconsul dans la République des lettres. avoir tous les pouvoirs. L’ambition dévoiera Lucien Chardon. « 

  • Les mille et unes gaffes de l’ange-gardien Ariel Auvinen, d’Arto Paasilinna

 » On l’ignore, mais chaque année, dans l’église de Kerimäki en Finlande, a lieu un séminaire de formation des anges gardiens. Cinq cents d’entre eux y sont réunis et, en moins d’une semaine, l’ange Gabriel et ses assistants ont la lourde tâche de leur apprendre à protéger un mortel et à le guider sur le droit chemin. Parmi les célestes apprentis se trouve Ariel Auvinen, ange aussi zélé que maladroit. « 

  • L’Alchimiste, de Paul Coelho

 » Santiago, un jeune berger andalou, part à la recherche d’un trésor enfoui au pied des Pyramides.
Lorsqu’il rencontre l’Alchimiste dans le désert, celui-ci lui apprend à écouter son cœur, à lire les signes du destin et, par-dessus tout, à aller au bout de son rêve. « U

  • Le merveilleux voyage de Nils Holgersson à travers la Suède, de Selma Lagerlöf

 » Pour avoir joué un mauvais tour à un nain, Nils se retrouve à la taille d’un lutin. Il ne peut alors rien faire pour retenir Martin, le jars de la basse-cour familiale, qui veut s’envoler avec les oies sauvages. Tentant le tout pour le tout, Nils s’accroche à son cou et s’envole pour le plus merveilleux des voyages à travers la Suède. « 

  • 1Q84, de Murakami

 » Le passé – tel qu’il était peut-être – fait surgir sur le miroir l’ombre d’un présent – différent de ce qu’il fut ?

Une oeuvre hypnotique et troublante.
Un roman d’aventures.
Une histoire d’amour.
Deux êtres unis par un pacte secret.

Dans le monde bien réel de 1984 et dans celui dangereusement séduisant de 1Q84 va se nouer le destin de Tengo et d’Aomamé…  « 

Évidemment, bien d’autres livres en tout genre viendront s’ajouter cette année à la pile, toujours grandissante, de mes envies…

Je vous souhaite à nouveau de passer une excellente année 2019, remplie de pages, de chapitres, de mots, de lettres, de découvertes, d’histoires et d’émotions !