Bilan lectures du mois de juin

Par Caroline @Lounapil

Nous sommes déjà le premier juillet. Le mois de juin est passé à une allure folle et l'été s'est enfin installé. Bientôt les vacances pour moi et qui dit vacances dit lectures bien sûr! Avant d'entamer ce mois dédié à la paresse, jetons un œil à ce qu'il s'est passé en juin. Mon bilan est plutôt bon puisque j'ai lu 9 romans (et certains étaient des briquasses!). Je n'ai acheté que 2 livres (d'occasion en plus) et reçu 5 SP.

Voici donc mes lectures du mois de juin:

Gros coup de cœur pour Les enfants de Peakwood de Rod Marty. J'ai aimé le style, l'intrigue, l'ambiance. L'auteur a su m'immerger dans son histoire de rituels et de revenants. J'ai aussi beaucoup aimé La Maîtresse de guerre de Gabriel Katz! Je l'ai lu d'une traite et je compte bien m'attaquer aux autres romans de l'auteur. Apostasie de Vincent Tassy m'a aussi énormément plu. Ce n'est pas une lecture évidente mais c'est si poétique et si violent. Une belle découverte. J'ai enfin particulièrement aimé Calame de Paul Beorn. L'auteur prend son lecteur à contrepied et son histoire est tout à fait originale.

Pas des coups de cœur mais de belles découvertes: L'île des absents de Caroline Eriksson m'a troublée. Ce thriller m'a donné des frissons. La perfection du crime d'Helen Fields est aussi une belle découverte. J'ai vraiment apprécié cette enquête policière qui met l'accent sur la façon dont les policiers s'y prennent pour débusquer le tueur. Et Dieu se leva du pied gauche d'Oren Miller m'a aussi fait passé un bon moment. Ce troisième tome m'a permis de renouer avec Évariste et Isabeau! Enfin Ces rêves qu'on piétine de Sébastien Spitzer m'a beaucoup émue. C'est un magnifique roman à la fois poignant et cruel.

Ma seule petite déception revient au roman A la pointe de l'épée d'Ellen Kushner (chronique à venir). C'est un livre assez particulier, pas évident et qui a, cependant, de nombreuses qualités.

J'ai bien tapé dans mes lectures des Imaginales et je suis à jour dans mes SP. Côté prévisions livresques, je mise cet été sur du Gabriel Katz, le dernier Joël Dicker et pourquoi pas du Maurice Druon avec Les rois maudits!