Hatchepsout a bien des projets pour son pays et son économie. De grand travaux sont prévus. Son désir ? Redonner sa splendeur d’antan à la cité d’Avaris. Personne, cependant, ne lui fait oublier qu’elle est une femme et c’est un nouveau combat qu’elle doit mener. Heureusement, cette situation force le retour de Senmout auprès de celle qu’il aime. Djehouty, lui, le fils adoptif de la régente, est entraîné au combat par Sobek dont le comportement et les intentions font naître un conflit entre l’enfant et Hatchepsout. Dans tous les cas, même s’il est jeune, la construction du tombeau de ce futur pharaon doit également commencer. En parallèle, une voix magnifique chante dans les jardins toutes les nuits et envoûtent tous les hommes du palais…
Que d’action, d’envies, de frustrations, d’entreprises dans ce quatrième tome de Reine d’Égypte, le manga de Chie Inudoh. Ce dernier continue d’être aussi tendre que cruel. De satisfaire certains désirs et de surprendre. D’instruire sur certaines coutumes et croyances. De faire rire quand il le faut. Les des dessins, eux, sont de qualité depuis le début de cette histoire. Le voyage dans le temps est donc toujours passionnant, l’intérêt n’a pas encore faibli et ne se prépare pas à être déçu tant il a désormais confiance. C’est de nouveau avec impatience que la suite de cette série est attendue.
Présentation de l’éditeur :
Après la trahison de Satrê, Chepsout est obligée de changer ses plans… Elle se résout donc à porter l’enfant de pharaon et donne naissance à une fille en pleine santé. Hélas, l’état de Séthi, lui, commence à se dégrader ! Il doit mettre un terme à sa campagne et garder la chambre, très affaibli par le mystérieux mal qui le ronge. Lorsque la reine découvre que tout cela n’est qu’une manigance des prêtres d’Amon pour récupérer le pouvoir, elle prend une décision radicale : tuer son époux afin d’être la dépositaire de ses dernières volontés… C’est ainsi qu’elle devient la régente du prince Djehouty, alors âgé de trois ans, avant d’embarquer avec lui pour Avaris !