Ready Player One est un roman de science-fiction d’Ernest Cline dans laquelle une bataille épique se mène au rythme de références musicales, cinématographiques et vidéo ludiques. Un hommage à grand échelle est en effet livré ici. Il y a de quoi apprendre, de quoi se souvenir et revivre, de quoi vouloir découvrir. De l’histoire du premier jeu vidéo à une visite à l’intérieur de Blade Runner, en passant par la possession d’une Dolorean, ou des extraits ou allusions à J.R.R Tolkien, Ghostbusters, Street Fighter, Monty Python, Bon Jovi, The Dark Crystal, Superman, Pac-Man Fever, The Tempest et tant, tant d’autres. Le récit est fluide, empli de longues mais nécessaires et passionnantes descriptions. L’action est omniprésente, les surprises sont nombreuses. Le lecteur se sent comme un avatar en voyage lui aussi dans l’OASIS et le séjour aux côtés des héros de cette fiction imposante et habilement ficelée est grisant. L’aventure se poursuit au cinéma avec l’adaptation de Steven Spielberg, à la fois fidèle et libre pour un merveilleux rendu à l’image.
Présentation de l’éditeur :
2044. La Terre est à l’agonie. Comme la majeure partie de l’humanité, Wade, 17 ans, passe son temps dans l’OASIS – un univers virtuel où chacun peut vivre et être ce qui lui chante. Mais lorsque le fondateur de l’OASIS meurt sans héritier, une formidable chasse au trésor est lancée : celui qui découvrira les trois clefs cachées dans l’OASIS par son créateur remportera 250 milliards de dollars ! Multinationales et geeks s’affrontent alors dans une quête épique, dont l’avenir du monde est l’enjeu. Que le meilleur gagne…