C’est lundi que lisez-vous ?

Par Samuel Da Silva @samKing49

« C’est lundi que lisez-vous » est un rendez-vous créé par Mallou et s’inspire du It’s Monday, What are you reading ? par One Person’s Journey Through a World of Books. il a ensuité été repris par Galleane.

Le principe de ce rendez-vous est simple, il faut répondre à trois questions chaque lundi:

Qu’ai-je lu la semaine passée ?
Que suis-je en train de lire en ce moment?
Que vais-je lire ensuite ?

Ce que j’ai lu la semaine dernière :


J’en avais entendu parler sur la toile mais pour ma part ça m’a pas spécialement excité plus que ça. Aussi je n’ai pas éprouvé le besoin d’en faire une chronique.


Je l’ai finir hier après-midi et même si je ne le classerais pas comme coup de coeur cela cependant une bonne lecture. Ce n’est pas un livre que je classerais dans les thriller, un simple policier, à lire. La chronique complète sera à suivre.

Ce que je suis en train de lire :


Un service presse gagné grace à lecteurs.com et les editions pocket. MErci à eux de me faire decouvrir cet auteur.
Un bon pavé de 600 pages, bien comme je les aime. Je pense que je risque de passer un bon moment.

Ce que je vais lire ensuite :


Gagné avec l’opération Masse critique de Babelio. On sors completement du cadre du roman, je pense qu’il s’agit la plus d’un documentaire de société. JE ne sais pas vraiment à quoi m’attendre. J’espere ne pas etre trop decu en tout cas.
Résumé : Le point zéro de la révolution se situe dans la sphère privée, site de la reproduction sociale de la main-d’oeuvre et de la force de travail, soutient Silvia Federici. Écrits entre 1974 et 2012, les textes ici réunis mettent en perspective les analyses et les combats féministes dans lesquels l’autrice de Caliban et la sorcière s’est inlassablement engagée. Ils éclairent un parcours intellectuel et politique guidé par une adhésion critique au marxisme, qui rejoint désormais les positions écoféministes. Devant la férocité de la mondialisation néolibérale il est urgent, nous dit Federici, que les féministes rouvrent le chantier politique de l’émancipation en l’associant à la défense des biens communs.