Addicted to sin, Tome 1 de Monica James

Par La Chronique Des Passions

- J'ai un truc pour obtenir ce dont j'ai envie.
J'écarquille les yeux avant de baisser ostensiblement mon regard sur sa poitrine.
Elle surprend mon geste et se met à rire.
- Non, pas avec ça, espèce de pervers.
Je lève les mains en l'air pour témoigner de mon innocence.
- Hé ! Je ne suis qu'un homme.

Monica James est australienne et vit avec sa famille à Melbourne. Elle écrit des romances contemporaines depuis quelques années et trouve son inspiration dans la vie de tous les jours. Elle aime écrire des omances simples, très sensuelles, rythmées par de nombreux rebondissements.

Dixon est un superbe psychiatre de 32 ans. Si,si, ils existent...et je peux vous dire qu'ils sont chauds bouillants.

Ils sont même tellement chauds qu'ils couchent avec leurs patientes !

La fin se finit sur un cliffangher. Je pense lire la suite par curiosité mais je ne me jetterait pas dessus. On a une bonne romance érotique mais qui malgré ce qu'elle laissait penser est loin d être originale. J'attendais un peu plus.

-Docteur Mathews, votre rendez-vous de 12h30 est arrivé, annonce Madame Vale dans l'interphone.
Sa voix chantante me sort de ma rêverie, je m'éclaircis la gorge avant de répondre :
-Faites la entrer.
J'affiche sur mon ordinateur la page pour les nouveaux patients et commence à taper les détails concernant Mademoiselle Juliet Harte.
Age : 26 ans.
Genre : Femme.
Adresse : 18 Union Square West, New York
Trouble : Addiction au sexe.

Oh mon dieu.
-Docteur Mathews ? lance une voix veloutée et, prête à la saluer, ma queue commence à se redresser.
Mes yeux quittent l'écran de mon ordinateur pour découvrir que Mademoiselle Juliet Harte est le pêché à l'état pur dans un écrin de perfection.
Ses cheveux blonds sont noués en chignon et quelques mèches retombent sur son visage, attirant l'attention sur des yeux bleus qui appellent au sexe. Ses lèvres recouvertes d'un gloss clair sont les plus sensuelles que j'ai jamais vues. Les images de ce que cette bouche pourrait me faire m'assaillent et me forcent à me réinstaller délicatement sur mon siège."