Brelin n’est pas un petit garçon comme les autres. D’ailleurs, il ne va pas à l’école. Il ne parle pas beaucoup et ne semble pas savoir lire. Cependant, la nuit, il écrit des poèmes sur l’ordinateur de son frère. Ce dernier, qui est d’ailleurs fatigué de devoir faire avec les sauts d’humeur du petit garçon, est parti habiter chez sa grand-mère. C’est vrai qu’avec Brelin, la maison est soit très calme soit bruyante comme si une fanfare répétait un spectacle. Les moments pendant lesquels il est le plus apaisé sont ceux qu’il partage avec la lune qui agit sur lui comme un guide. Un jour, Brelin disparaît…
Brelin de la lune est un livre qui traite de l’autisme avec beaucoup de tendresse et de poésie. Les problèmes sociaux et familiaux engendrés par ce trouble mental sont évoqués mais Koshka se concentre sur les rêves, l’amour et l’intelligence de chacun pour dire qu’il n’est pas insurmontable, au contraire. Déjà parue sous deux formats différents au début des années 2000, cette histoire est réédité en 2017 aux éditions Oskar en tant qu’album. Il est illustré par Charles Dutertre. C’est un doux, beau et inspirant voyage.
Présentation de l’éditeur :
Brelin ne pense pas comme les autres : il est autiste. Pour lui, la lune éclaire plus que les nuits : elle le rassure et le guide. Un jour, sans rien dire à personne, il décide d’aller lui rendre une visite, et disparaît… Quelqu’un saura-t-il penser comme lui pour le retrouver ?
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