Mes maisons d’édition préférées : Les Escales #1

Par Mesechappeeslivresques

Dans cette nouvelle série d’articles, j’ai décidé de vous présenter de temps à autre les maisons d’éditions qui m’attirent le plus et pour lesquelles leurs parutions correspondent complètement à mes goûts et mes envies de lectures.

Je commence aujourd’hui avec la maison d’édition Les Escales qui fait partie de mes préférées et avec laquelle j’ai eu la chance de découvrir de superbes livres et d’inoubliables auteurs.

La maison d’édition Les Escales va souffler sa cinquième bougie en 2017 et pour moi, elle a complètement réussi son pari qui est de faire voyager le lecteur à travers ses livres.

Malgré son jeune âge, elle regroupe déjà une foule de superbes parutions et de talentueux auteurs.

Parmi ces derniers, j’ai eu la joie de découvrir il y a quelques mois la plume de Victoria Hislop qui m’a enchantée et touchée notamment avec son roman L’île des oubliés, une saga familiale qui nous emmène à Spinalonga, l’île des lépreux.

J’ai également beaucoup aimé sa dernière parution Une nuit en Crète parue en octobre dernier qui est un recueil de nouvelles plein de charme. D’autres de ses livres sont toujours dans ma PAL et je vais me faire un plaisir de les découvrir très prochainement.

  

J’avais également envie de vous faire découvrir deux titres qui m’ont tout particulièrement marquée cette année et qui se déroulent pendant la Seconde Guerre Mondiale, période que j’affectionne beaucoup.

Tout d’abord, le livre de Sarah McCoy, Un goût de cannelle et d’espoir qui relate l’histoire de la jeune Elsie, seize ans, allemande, qui aide ses parents dans la boulangerie familiale jusqu’au jour où un enfant juif vient frapper à sa porte.

L’autre roman qui a été un coup de coeur pour moi est Lettres à Stella de Iona Grey. Si vous aimez les histoires d’amour sur fond de guerre qui navigue entre passé et présent, foncez découvrir ce bouleversant récit!

Les parutions qui me font envies :

Du côté des parutions françaises, le premier roman de Jérôme Chantreau, Avant que naisse la forêt, a fait beaucoup parlé de lui lors de la dernière rentrée littéraire et j’espère avoir l’occasion de le lire très bientôt.

Ensuite, Mon hiver à Zéroland de Paola Predicatori m’attire aussi beaucoup par le thème de son histoire qui évoque le deuil. Dans ce livre, Alessandra est une adolescente qui vient de perdre sa mère. Elle préfère s’isoler des autres au lycée et va nouer une complicité avec un élève un peu à part, « Zéro ». Celui-ci lui fait découvrir un monde où le silence et la solitude règnent en maître.

Enfin, La voix des vagues de Jackie Copleton a rejoint ma PAL il y a quelques semaines et je compte bien le découvrir d’ici peu. Ce roman se déroule au Japon au moment du terrible drame de Nagasaki en 1945 et évoque les thèmes de l’amour, de l’Histoire et de la famille.

Les parutions prévues en 2017 :

Je vous ai sélectionné ici quelques titres à paraître au premier semestre 2017 qui me tentent beaucoup. Difficile de choisir car beaucoup de ces prochaines sorties font vraiment envie! Parmi les bonnes surprises, j’ai été ravie d’apprendre la parution d’un nouveau roman de Victoria Hislop en mai prochain.

Jeux de miroirs – E.O. Chirovici (janvier 2017)

Véritable phénomène d’édition, Jeux de miroirs est en cours de publication dans plus de 38 pays. Ce roman à la construction diabolique tient son lecteur en haleine jusqu’à la toute dernière page.
Un jour, un agent littéraire, Peter Katz, reçoit un manuscrit inachevé intitulé Jeux de miroirs. Son auteur y raconte ses années d’étudiant à l’université de Princeton, son histoire d’amour avec une brillante étudiante en psychologie et les liens qu’ils entretenaient avec le Professeur Joseph Wieder, ponte renommé de la psychologie cognitive aux mystérieux travaux sur la mémoire et les souvenirs.
Dès les premières pages, Katz est intrigué : le Professeur Wieder a été brutalement assassiné à la fin des années quatre-vingt, un meurtre sans mobile apparent et dont on n’a jamais retrouvé l’auteur. Le manuscrit semble contenir des révélations sur cet assassinat. Se pourrait-il que ce roman ne soit pas une fiction ? Malheureusement, le manuscrit s’arrête juste avant la révélation finale.
Persuadé d’avoir entre les mains un futur best-seller qui révélera enfin la clef de l’intrigue qui a tenu les États-Unis en haleine, l’agent tente d’en savoir plus. Mais l’auteur du manuscrit est décédé et le texte inachevé. Katz embauche alors un journaliste d’investigation pour conduire l’enquête et écrire la suite du livre. En menant des entretiens avec les protagonistes qu’il a pu retrouver, le journaliste se heurte à des fausses pistes, des souvenirs peu fiables et des faux-semblants… Et si la vérité était une histoire parmi d’autres ?

La porte du ciel – Dominique Fortier (janvier 2017)

Au coeur de la Louisiane et de ses plantations de coton, deux fillettes grandissent ensemble. Tout les oppose. Eleanor est blanche, fille de médecin ; Eve est mulâtre, fille d’esclave. Elles sont l’ombre l’une de l’autre, soumises à un destin qu’aucune des deux n’a choisi. Dans leur vie, il y aura des murmures, des désirs interdits, des chemins de traverse. Tout près, surtout, il y aura la clameur d’une guerre où des hommes affrontent leurs frères sous deux bannières étoilées.
Plus loin, dans l’Alabama, des femmes passent leur vie à coudre. Elles assemblent des bouts de tissu, Pénélopes modernes qui attendent le retour des maris, des pères, des fils partis combattre. Leurs courtepointes sont à l’image des États-Unis : un ensemble de morceaux tenus par un fil – celui de la couture, celui de l’écriture.
Entre rêve et histoire, Dominique Fortier dépeint une Amérique de légende qui se déchire pour mieux s’inventer et pose avec force la question de la liberté.

Sous la même étoile – Dorit Rabinyan (mars 2017)

Censuré par le gouvernement israélien, Sous la même étoile – histoire d’amour bouleversante de justesse et de grâce entre une Israélienne et un Palestinien – est un phénomène international.
Tout commence par le froid glacial d’un hiver à New York et tout se termine sur le sable brûlant des plages de Jaffa. Le hasard a fait se rencontrer et s’aimer une femme et un homme qui ne se seraient jamais adressé la parole dans d’autres circonstances. La femme c’est Liat, une Israélienne dévorée par une nostalgie profonde de Tel Aviv. L’homme c’est Himli, un peintre palestinien originaire de Ramallah.
À New York, espace neutre hors du temps et de la politique, Liat et Himli décident de s’oublier, le temps d’un hiver, dans un amour qui serait impossible ailleurs. Commence une vie commune dont la date d’expiration se fait toujours plus pressante. Dans cet univers clos qu’ils se sont créé, Liat et Himli ont décidé d’ignorer les marges, les différences et les fissures. Mais la réalité finit toujours par s’imposer et, un jour, il leur devient impossible de fermer les yeux plus longtemps…

La maison de poupée – M.J. Arlidge (mars 2017)

Préparez-vous à passer une nuit blanche en plongeant dans le monde tordu et terrifiant de La Maison de poupée, le nouveau thriller de M.J. Arlidge.
Une jeune femme se réveille dans une cave froide et sombre. Elle est seule et n’a pas la moindre idée de la façon dont elle s’est retrouvée là, ni de l’identité de son ravisseur. Et elle ignore encore que son cauchemar ne fait que commencer…
Pas très loin de là, le corps d’une autre femme est découvert au milieu d’une plage isolée. Sa disparition n’a jamais été déclarée à la police : sa famille qui recevait encore des textos de sa part n’avait aucune raison de s’inquiéter. Pour la détective Helen Grace, il n’y a aucun doute : le monstre qui se cache derrière tout ça n’en est pas à son coup d’essai et a déjà tué. Elle a affaire à un prédateur pervers, intelligent et qui ne recule devant rien.

Cartes postales de Grèce – Victoria Hislop (mai 2017)

Magique : le nouveau roman de Victoria Hislop nous entraîne à travers la Grèce sur les traces d’un amour perdu. Richement illustré, Cartes postales de Grèce fait chatoyer les couleurs de la Méditerranée.
Dans sa boîte aux lettres, Ellie trouve, semaine après semaine, des cartes postales signées d’une simple initiale : « A ». Elles sont adressées à une personne dont Ellie n’a jamais entendu parler, sans aucune adresse d’expédition. Entre l’éclat du ciel grec et l’eau cristalline de la mer, ces cartes sortent la jeune femme de sa morosité quotidienne. Un jour, les cartes cessent d’arriver. Ellie se sent alors délaissée, privée de ce qui la laissait entrevoir un monde de rêve et d’exotisme. Elle prend alors une décision : elle doit découvrir ce pays par elle-même.
Le matin de son départ, Ellie reçoit un carnet par la poste. Dans ce carnet, est racontée l’odyssée d’un homme, le mystérieux « A », à travers la Grèce. Il observe avec tendresse et générosité les Grecs, leurs coutumes, et leurs habitudes à travers de savoureuses anecdotes. Derrière ces observations se dessine le portrait d’un homme brisé, mais qui veut encore croire à l’amour.

N’oublie rien en chemin – Anne-Sophie Moszkowicz (mai 2017)

À la mort de sa grand-mère qu’elle adorait, Sandra, quarante ans, se voit remettre des lettres et des carnets de son aïeule. Rivka y livre un témoignage poignant sur sa jeunesse dans le Paris de l’Occupation, les rafles, la terreur, le chaos. Mais il y a plus. Par-delà la mort, la vieille femme demande à sa petite-fille d’accomplir une mission.
Une mission qui obligera Sandra à retourner à Paris, ville maudite, sur les traces de son amour de jeunesse, Alexandre. Un homme étrange, hypnotique et manipulateur dont Sandra ne pensait plus jamais croiser la route… Pour elle, l’heure est venue d’affronter ses démons.
Avec beaucoup de délicatesse, Anne-Sophie Moszkowicz brosse le portrait d’une famille prise dans les tourments de l’Histoire et nous entraîne dans les dédales de la mémoire.

J’espère que cet article vous aura envie de découvrir cette fabuleuse maison d’édition. Et vous? Quels sont vos éditeurs préférés?