Eh non, je ne vous ai pas concocté un billet hautement songé sur Ou bien… ou bien de Kierkegaard. Déçus? Je lance plutôt un nouveau tag inspiré de celui paru il y a un certain temps chez Pocket jeunesse. Au programme: des choix difficiles – ou non –, en lien avec l'univers des livres.C'est l'été… dévorer un pavé OUplonger dans un roman légerUn pavé, sans hésiter. Pour moi, vacances d'été riment avec lectures de longue haleine. C'est le temps d'enfiler les gros pavés bien lourds. Je me demande d'ailleurs pourquoi «été» devrait rimer avec «légèreté»? Est-ce à dire qu'«hiver» rime avec «lourdeur»? L'idée de «lecture estivale» me paraît incongrue quand on lit avec la même constance tout au long de l'année. «Lecture d'été», «lecture de plage»… J'ai de la misère avec ces expressions. Mais sans elles, les journaux et magazines seraient bien en peine!conseiller un livre OUse faire conseiller un livreLà, le choix est plus difficile. Une livre que j'ai adoré risque de ne pas plaire à celui à qui je le conseille. Chacun ses goûts! Pour être de bon conseil, il faut bien connaître une personne et faire abstraction de ses goûts personnels. Aux dires des ami(e)s à qui je conseille des titres ou prête des livres, je tombe très souvent dans le mille. Quant à me faire conseiller un livre… c'est un tantinet plus périlleux. Chat échaudé craint l'eau! Toutefois, je picore des idées de lecture (trop) en lisant les blogues que je suis religieusement. Là, le puits est sans fond.corner les pages d'un livreOUlui casser le dosSi les deux me font blêmir, je préfère casser la tranche d'un livre. Cela n'a pas toujours été le cas. Il fut un temps où la hantise du dos cassé frôlait le toc. Il m'est arrivé de vendre ou de donner un livre que j'avais prêté et qui m'était revenu avec le dos cassé pour vite filer en acheter un nouvel exemplaire tout neuf. Heureusement, ça se soigne. Maintenant, je casse le dos des livres sans frémir quand cela m'assure un meilleur confort de lecture et si je suis assurée que les pages ne se détacheront pas. Et puis, avec le temps, j'ai apprivoisé les livres «abîmés». Comme un visage ridé, ils témoignent d'un vécu. Quant à corner les pages... Impossible. Ça ne se fait pas (et, dans mon cas, ça ne se soigne pas).un roman avec un prologueOUun roman avec un épilogueEntre les deux, mon cœur balance pour le prologue. Les prologues mettent la table, alors que les épilogues apportent souvent un point final lorsque le dernier chapitre ne l'a pas fait. Dans un tel cas, je préfère l'entrée au dessert.ne pas voir la couverture d’un livre avant de le commencer OUne pas lire la quatrième de couverture avant de le commencerJe dois absolument voir la couverture d'un livre. Elle donne le ton. Ne pas lire la quatrième de couverture ne me gêne pas. D'autant plus que je les trouve souvent trop bavardes. J'aime aussi l'idée d'ouvrir le nouveau bouquin d'un de mes auteurs chouchous sans savoir où il va m'amener, de lui donner la main les yeux fermés.un roman choralOUun roman écrit à la première personneUn roman choral. Le nombre de romans choraux (ça se dis-tu, ça?) que j'ai pu lire seulement parce que j'ai lu quelque part qu'il s’agissait d'un roman avec différents narrateurs ou points de vue... J'en raffole.une fin ouverteOUune fin ferméeJe préfère les fins fermées. Elles ont l'avantage de ne pas laisser dans le flou avec des questions sans réponses.un feel good book OUun page turnerSans hésiter, un page turner. Je suis peu portée vers les feel good book, même si récemment, j'en ai lu un excellent. Ma vie est une feel good life (je suis plus que satisfaite de mon sort!). C'est peut-être pourquoi je suis plutôt portée par les histoires de laissés-pour-compte qui en bavent! Les pages turner ne sont pas toujours ceux que l'on croit. L'expression devrait plutôt désigner celui qui lit, que le livre lui-même. Un roman peut-être addictif pour un et ne pas l'être pour d'autres. Au final, je me méfie des étiquettes.devoir se séparer de quinze livres OU devoir prêter ses livresDepuis quelques années, je peux prêter mes livres sans devenir hystérique, ce qui n'a pas toujours été le cas. Depuis qu'un roman prêté est revenu du Mexique avec quelques grains de sable à l'intérieur, je suis fière de laisser mes livres voyager. Mais ils doivent ensuite rentrer au bercail! Se séparer de quinze livres n'est pas un problème. Je fais régulièrement le grand ménage dans mes bibliothèques. Chaque livre qui s'y trouve a donc sa place et est important pour moi.J'aimerais bien connaître vos choix. Si ça vous dit...
Eh non, je ne vous ai pas concocté un billet hautement songé sur Ou bien… ou bien de Kierkegaard. Déçus? Je lance plutôt un nouveau tag inspiré de celui paru il y a un certain temps chez Pocket jeunesse. Au programme: des choix difficiles – ou non –, en lien avec l'univers des livres.C'est l'été… dévorer un pavé OUplonger dans un roman légerUn pavé, sans hésiter. Pour moi, vacances d'été riment avec lectures de longue haleine. C'est le temps d'enfiler les gros pavés bien lourds. Je me demande d'ailleurs pourquoi «été» devrait rimer avec «légèreté»? Est-ce à dire qu'«hiver» rime avec «lourdeur»? L'idée de «lecture estivale» me paraît incongrue quand on lit avec la même constance tout au long de l'année. «Lecture d'été», «lecture de plage»… J'ai de la misère avec ces expressions. Mais sans elles, les journaux et magazines seraient bien en peine!conseiller un livre OUse faire conseiller un livreLà, le choix est plus difficile. Une livre que j'ai adoré risque de ne pas plaire à celui à qui je le conseille. Chacun ses goûts! Pour être de bon conseil, il faut bien connaître une personne et faire abstraction de ses goûts personnels. Aux dires des ami(e)s à qui je conseille des titres ou prête des livres, je tombe très souvent dans le mille. Quant à me faire conseiller un livre… c'est un tantinet plus périlleux. Chat échaudé craint l'eau! Toutefois, je picore des idées de lecture (trop) en lisant les blogues que je suis religieusement. Là, le puits est sans fond.corner les pages d'un livreOUlui casser le dosSi les deux me font blêmir, je préfère casser la tranche d'un livre. Cela n'a pas toujours été le cas. Il fut un temps où la hantise du dos cassé frôlait le toc. Il m'est arrivé de vendre ou de donner un livre que j'avais prêté et qui m'était revenu avec le dos cassé pour vite filer en acheter un nouvel exemplaire tout neuf. Heureusement, ça se soigne. Maintenant, je casse le dos des livres sans frémir quand cela m'assure un meilleur confort de lecture et si je suis assurée que les pages ne se détacheront pas. Et puis, avec le temps, j'ai apprivoisé les livres «abîmés». Comme un visage ridé, ils témoignent d'un vécu. Quant à corner les pages... Impossible. Ça ne se fait pas (et, dans mon cas, ça ne se soigne pas).un roman avec un prologueOUun roman avec un épilogueEntre les deux, mon cœur balance pour le prologue. Les prologues mettent la table, alors que les épilogues apportent souvent un point final lorsque le dernier chapitre ne l'a pas fait. Dans un tel cas, je préfère l'entrée au dessert.ne pas voir la couverture d’un livre avant de le commencer OUne pas lire la quatrième de couverture avant de le commencerJe dois absolument voir la couverture d'un livre. Elle donne le ton. Ne pas lire la quatrième de couverture ne me gêne pas. D'autant plus que je les trouve souvent trop bavardes. J'aime aussi l'idée d'ouvrir le nouveau bouquin d'un de mes auteurs chouchous sans savoir où il va m'amener, de lui donner la main les yeux fermés.un roman choralOUun roman écrit à la première personneUn roman choral. Le nombre de romans choraux (ça se dis-tu, ça?) que j'ai pu lire seulement parce que j'ai lu quelque part qu'il s’agissait d'un roman avec différents narrateurs ou points de vue... J'en raffole.une fin ouverteOUune fin ferméeJe préfère les fins fermées. Elles ont l'avantage de ne pas laisser dans le flou avec des questions sans réponses.un feel good book OUun page turnerSans hésiter, un page turner. Je suis peu portée vers les feel good book, même si récemment, j'en ai lu un excellent. Ma vie est une feel good life (je suis plus que satisfaite de mon sort!). C'est peut-être pourquoi je suis plutôt portée par les histoires de laissés-pour-compte qui en bavent! Les pages turner ne sont pas toujours ceux que l'on croit. L'expression devrait plutôt désigner celui qui lit, que le livre lui-même. Un roman peut-être addictif pour un et ne pas l'être pour d'autres. Au final, je me méfie des étiquettes.devoir se séparer de quinze livres OU devoir prêter ses livresDepuis quelques années, je peux prêter mes livres sans devenir hystérique, ce qui n'a pas toujours été le cas. Depuis qu'un roman prêté est revenu du Mexique avec quelques grains de sable à l'intérieur, je suis fière de laisser mes livres voyager. Mais ils doivent ensuite rentrer au bercail! Se séparer de quinze livres n'est pas un problème. Je fais régulièrement le grand ménage dans mes bibliothèques. Chaque livre qui s'y trouve a donc sa place et est important pour moi.J'aimerais bien connaître vos choix. Si ça vous dit...