Bonjour,
Comme je vous l’ai dit hier, j’ai (enfin) fini Confessions d’un automate mangeur d’opium, ma première lecture steampunk et j’avoue que si je n’avais pas New Victoria, l’intégral, de Lia Habel, dans ma bibliothèque, ce serait aussi le dernier.
4ème de couverture
Paris, 1889. Un monde en transition, où les fiacres côtoient les tours vertigineuses des usines. Une ville brumeuse envahie par les aéroscaphes, d’étranges machines volantes qui quadrillent le ciel, et des nuées d’automates cuivrés… C’est dans cet univers révolutionné par l’éther, la substance verte aux propriétés miraculeuses, que la comédienne Margaret Saunders doit résoudre le mystère de la mort de sa meilleure amie, tombée d’un aérocar en plein vol. Sur la piste d’un créateur de robots dément, Margo, secondée par Théo, médecin dans un asile d’aliénés, va découvrir au péril de sa vie les dangers cachés de l’envoûtante vapeur.
Mon avis
La couverture est magnifique c’est ce qui nous a incité avec ma fille à l’acheter. Mais voilà, je me suis ennuyée, j’ai trouvé le livre long, j’avais du mal à le reprendre chaque fois que je devais le poser.
Je ne sais pas trop expliquer pourquoi, mais je ne me suis pas du tout attachée aux personnages, je les trouve creux. De plus les descriptions du Paris steampunk ne sont pas assez détaillées, présentes :(
L’histoire est tirée par les cheveux, et même si l’écriture est agréable et fluide, la lourdeur de l’intrigue fait que j’ai eu du mal à aller jusqu’à la fin.
En fait, je verrais bien ce roman en BD afin de bien voir à quoi ressemble les aéroscaphes/cabs et autres :D .
Conclusion
Une déception que cette lecture steampunk mais je ne désespère pas d’en trouver un dans ce genre qui me plaira :P
En attendant ce jour je vous souhaite une bonne lecture ! <3"><3"><3