Si j’avais déjà succombé au charme du premier tome, celui-ci le dépasse haut la couronne ! Direction les coulisses de la royauté avec un duo explosif : le futur Roi de Suède et la Princesse du Lichtenstein. Ils se connaissent depuis toujours et ne cessent de se chamailler. Mais si derrière les piques et les regards glacés se cachait une tension bien plus électrisante ? Coup de livresque !
Et si vous laissiez parler votre cœur ?
De quoi ça parle : Le retour tant attendu de la royale romance !
Héritier du Royaume de Suède, Callum est prêt à endosser le rôle qui lui revient de droit. Néanmoins, avant de se résoudre à lui céder le trône, le roi Gustaf X lui demande de prouver qu’il est capable de faire prospérer le pays. Un mariage avec un grand parti d’Europe pourrait être un bon moyen de parvenir à ses fins, mais Callum se l’est juré, plus personne n’accédera à son cœur. La somptueuse princesse Astoria du Lichtenstein est, elle, promise depuis sa naissance. Mais l’évidence s’impose à elle : elle veut fuir cette union à tout prix. Sa seule issue ? Se fiancer à un prince auquel ses parents ne pourront pas s’opposer. Un homme qui la sauvera non seulement elle, mais également son royaume. Callum Ragnar Christensen, son meilleur ennemi, pourrait être la solution. Même si elle préférerait se planter un pic à glace dans l’œil plutôt que de le supporter au quotidien…
Ce que j’ai aimé… ou pas… : Callum et Astoria n’ont aucune prise sur leur destin. Leur avenir a été scellé bien avant leur naissance, dans les coulisses feutrées de la diplomatie et des alliances royales. Alors, quand Astoria doit rencontrer son futur époux, choisi pour faire prospérer son pays, elle s’exécute. Par devoir. Pour sa famille. Même si, elle aurait volontiers repoussé l’échéance de quelques semaines… voire quelques années. Elle tente de faire bonne figure, mais plus la date fatidique approche, plus la perspective de ce mariage arrangé devient insupportable. Jusqu’à ce qu’une issue inespérée prenne la forme (très agaçante) de Callum, le futur roi de Suède, son meilleur ennemi. Ces deux-là se connaissent depuis des années. Ils partagent le même cercle d’amis, mais à chaque rencontre, c’est plus fort qu’eux : ils s’agacent, se piquent, se défient. Cal est tout ce qu’Astoria redoute et peut-être tout ce dont elle a besoin . Callum, lui, avance en silence. Dans l’ombre, il assiste à toutes les réunions, agit pour son pays, pendant que le roi Gustaf X, son père, brille en façade. Leur relation ? Tendue (et le mot est faible). Un affrontement permanent entre pouvoir, orgueil et blessures passées. Mais Cal n’est plus un jeune prince effacé. Il joue désormais sa propre partie, prêt à conquérir sa couronne. Et si, au passage, il peut gagner la main (et le cœur) de la plus indomptable des princesses, il ne reculera devant rien.
Coup de cœur pour ces deux âmes cabossées qui apprennent à se reconstruire ensemble. L’amitié entre Callum et Astoria n’a jamais été simple. Pourtant, on devine depuis longtemps ces petits signes, ces étincelles qui ne demandaient qu’à s’embraser. Un regard en coin, une pique bien placée, un soutien discret : tout était déjà là, en filigrane. Astoria a toujours su qu’un mariage arrangé ferait partie de son destin. Mais elle a grandi avec des parents aimants, présents, qui l’ont toujours soutenue. Callum, lui, n’a pas eu cette chance. Proche de sa mère, ex-reine déchue, il doit composer avec un père autoritaire dont l’image publique contraste violemment avec les abus privés . Le roi Gustaf X, se montre cruel, manipulateur, jusqu’à franchir une limite que je vous laisse découvrir. Mais Callum n’est pas du genre à baisser les bras. Dans l’ombre, il manœuvre, prépare sa revanche. Et lorsqu’il choisit Astoria, c’est avec l’intention de la protéger et de l’aimer (à sa manière). Avec douceur, avec patience, avec ces petites attentions qui font fondre n’importe quel cœur (je vous laisse découvrir le surnom qu’il lui donne), Il laisse à Astoria le temps dont elle a besoin, tout en lui montrant qu’elle compte vraiment. Entre eux, la franchise règne : ils se connaissent trop bien pour se cacher derrière des faux-semblants. Alors forcément, les échanges sont parfois musclés, mais Cal sait aussi sortir la phrase qui cloue le bec de la princesse la plus fière du Lichtenstein. Depuis le premier tome, on savait où aurait lieu le “dérapage” qui mènerait au mariage, mais le comment, je l’ai savouré du début à la fin. Les flashbacks de Callum, ses sentiments tus, mais omniprésents, les scènes de groupe avec Damian et Ismaël, les piques, les regards, les non-dits et cette évidence qui finit par leur éclater à la figure. Ajoutez à cela la tension père/fils, la protection qu’il accorde à sa mère et à Astoria, et vous obtenez un cocktail émotionnel parfaitement dosé. Bref, Callum est officiellement mon nouveau BookBoyfriend. Futur Roi, cœur tendre, stratège de l’ombre que demander de plus ? Je trépigne à l’idée de découvrir l’histoire d’Ismaël ( pour que sa promise soit celle que j’espère !).
@ très vite entre deux chapitres
Psitt ! Pour vous le procurer, c’est par ici. (Re)Découvrez mon avis sur “Mad Majesty” (tome 1)
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